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Les impacts d’un trouble de langage oral : des pistes de solution
Publié le : 03/05/2017 | Catégories : Langage oral , Vulgarisation scientifiqueIl existe des pistes de solution intéressantes pour maximiser les interventions auprès des enfants présentant un trouble du langage oral, qui affecte la réussite dans toutes les matières scolaires.
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La compréhension orale : une compétence essentielle à la réussite scolaire
Publié le : 08/03/2017 | Catégories : Langage oral , Vulgarisation scientifiqueCommuniquer oralement fait partie des compétences évaluées en français langue d’enseignement dans le Programme de formation de l
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Le point de vue des parents sur les services orthophoniques publics offerts à leur enfant ayant un trouble primaire du langage
Publié le : 31/01/2017 | Catégories : Langage oral , Vulgarisation scientifiquePrivés vous serez, au privé vous irez. Le trouble primaire du langage, ou dysphasie, affecte environ 7,4 % des enfants d’âge préscolaire (Tomblin et al., 1997).
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Habiletés pragmatiques des enfants – ou comment devenir un bon communicateur !
Publié le : 18/01/2017 | Catégories : Langage oral , Vulgarisation scientifiqueLa pragma-quoi ? La pragmatique, c’est l’une des composantes du langage. Le langage comprend plusieurs composantes distinctes, entre autres les sons (phonologie)
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Former ou se former pour soutenir le développement langagier des jeunes enfants : quoi faire, mais surtout, comment?
Publié le : 04/01/2017 | Catégories : Langage oral , Vulgarisation scientifiqueNous sommes conscients, comme éducateurs, enseignants ou orthophonistes, de l’importance de soutenir de façon précoce et préventive le développement langagier et l’éveil à l’écrit des enfants
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Les difficultés en langage écrit chez les enfants présentant un trouble développemental des sons de la parole (TSP)
Publié le : 02/11/2016 | Catégories : Langage oral , Vulgarisation scientifiqueJe vous ai parlé la semaine dernière de l’importance de tenir compte des habiletés perceptuelles dans l’évaluation orthophonique, notamment parce que 30 à 40 % des enfants présentant un