Chantale Breault est orthophoniste au CIUSSS du Nord-de-l’Ile-de-Montréal, étudiante au doctorat en sciences biomédicales, option orthophonie, et chargée de cours à l’Université de Montréal. Dans le cadre de sa thèse de doctorat, elle s’intéresse à l’évaluation orthophonique de l’enfant d’âge préscolaire, à la persistance des atteintes langagières dans le temps et surtout à la participation sociale des personnes qui vivent avec un trouble (développemental) du langage. Ayant intégré la Clinique psychiatrique de la petite enfance de l’Hôpital en santé mentale Rivière-des-Prairies en 2004, elle a pu développer, au fil du temps, une pratique orthophonique s’inscrivant dans une perspective globale, interdisciplinaire et orientée sur le fonctionnement. Crédit photo : Vincent Bourassa Bédard
Voici quelques stratégies axées sur l'enseignement explicite et le travail collaboratif pour favoriser le soutien aux apprentissages des enfants aux prises avec un trouble développemental du langage.
Voici des actions concrètes pouvant être mises en place à l'école pour favoriser les apprentissages de tous les élèves, incluant ceux qui vivent des difficultés langagières.
Ce billet présente des pistes d'action pour permettre une meilleure compréhension des besoins des personnes qui vivent avec le trouble développemental du langage (TDL).
Le projet CATALISE a permis d'arriver à un consensus sur le trouble développemental du langage (TDL). Ce billet présente un résumé des grandes lignes de ce consensus.
Le trouble développemental du langage (TDL), anciennement appelé «dysphasie» ou «trouble primaire du langage», touche 7 à 8% de la population, c’est-à-dire environ 2 enfants par classe.
Il existe plusieurs pistes de solution pour amoindrir l’impact des difficultés émotionnelles, comportementales et langagières, qui vont souvent de pair.
Il est bien documenté qu’un nombre élevé d’enfants présentant des difficultés émotionnelles et comportementales ont aussi de faibles compétences langagières et des difficultés d’apprentissage