Daniel Daigle est professeur au département de didactique de l’Université de Montréal depuis 2004. Après avoir obtenu un baccalauréat en enseignement du français langue seconde et une maîtrise en didactique des langues de l’Université du Québec à Montréal, il a enseigné le français pendant une quinzaine d’années. Il a ensuite obtenu un doctorat en sciences de l’éducation (didactique) de l’Université de Montréal et a fait des études postdoctorales en psycholinguistique à l’Université de Strasbourg (France). Ses travaux portent principalement sur la reconnaissance et la production des mots écrits et sur les difficultés qui y sont associées. Il mène des recherches auprès d’élèves du primaire avec ou sans difficulté. Il a développé une expertise spécifique pour la recherche auprès d’élèves dyslexiques/dysorthographiques, d’élèves ayant un trouble du langage et d’élèves sourds.
Le «mot». Un petit mot de trois graphèmes seulement, mais qui a une si grande importance. Mais pourquoi le «mot» est-il si important?
Comment donner la chance aux élèves ayant un trouble du langage (TDL) de démontrer leur maitrise de la compétence en lecture? Voici quelques pistes de réflexion!
Lorsque la cible d’apprentissage est la lecture ou l’écriture, l’enseignant a assurément avantage à recenser le contenu du baluchon de ses élèves. Mais comment peut-il s’y prendre?
Comment travailler de façon spécifique les phonèmes qui peuvent être transcrits de différentes façons (multigraphémiques)? 5 suggestions d'activités pour enseigner cette propriété visuelle des mots.
Comment travailler de façon spécifique les lettres muettes non porteuses de sens? 5 suggestions d'activités pour enseigner cette propriété visuelle de l'orthographe des mots.
Vous souvenez-vous de l’histoire d’Ali Baba? Non? C’est normal. L’histoire date d’il y a quelques centaines d’années. Thomas, lui, s’en souvient parfaitement [...]