Michelle Khalil a obtenu son diplôme de maitrise en orthophonie en 2004. Elle œuvre comme orthophoniste à temps plein dans le milieu scolaire depuis ce temps. En collaboration avec Marie-Claude Pigeon, elle a créé de nombreux jeux aux Éditions Passe-Temps. Ses publications et ses réalisations dans son milieu de travail lui ont valu le prix Envol (Fédération des professionnelles et professionnels de l’éducation du Québec), le prix Bravo Rayonnement (reconnaissance du personnel de la Commission scolaire de Montréal) et le prix Germaine-Huot (Ordre des orthophonistes et des audiologistes du Québec). Toujours avec Marie-Claude Pigeon, elle a aussi obtenu le prix Jeunes diplômés (Université Laval) pour sa collaboration avec un illustrateur présentant un trouble du langage sévère.
Comment peut-on amener les élèves à repérer et à comprendre les anaphores pronominales au cours de leur lecture? Ce billet présente 7 pistes d'interventions possibles pour faciliter cet apprentissage.
Les anaphores pronominales sont omniprésentes dans les textes et entravent fréquemment la compréhension des élèves. Quels sont les facteurs qui influencent leur compréhension?
Utiliser l'imagerie mentale et tenir compte des capacités limitées de la mémoire de travail sont des stratégies pouvant aider les élèves à développer leurs habiletés à faire des inférences en lecture.
S'exercer à l'oral, développer le vocabulaire compris, de même que prendre conscience de l'utilité des inférences et verbaliser leur raisonnement peuvent aider les élèves à inférer en lecture.
La compréhension d’un texte dépend largement de la capacité du lecteur à effectuer des inférences, c'est-à-dire déduire ce qui n’est pas explicitement écrit dans le texte.