Marie-Pier Godin est professeure au Département de didactique des langues de l’UQAM. Elle détient un doctorat en éducation de l'UQAM et a complété un stage postdoctoral en didactique à l'Université de Montréal. Ses travaux de recherche portent principalement sur l’enseignement et l’apprentissage de l'écriture chez les élèves en difficulté, particulièrement, chez ceux présentant des troubles langagiers. Elle s’intéresse aux liens qu’entretiennent les modalités orales et écrites et a un intérêt marqué pour l’apprentissage de l’orthographe lexicale et du vocabulaire.
Il n’y a pas qu’une seule méthode efficace pour orthographier les mots avec justesse. Voici différentes stratégies pour enseigner les lettres muettes en orthographe lexicale.
De nombreux mots se terminent par une ou plusieurs lettres muettes en français. Il en existe différents types, certaines configurations étant plus faciles que d'autres à orthographier.
Être un bon décodeur n’est pas un gage d’une bonne compréhension en lecture. Quelles sont les caractéristiques de ces « faibles compreneurs », ces élèves qui passent parfois inaperçus en classe?
La semaine dernière, un premier billet abordait la morphologie dérivationnelle et plus particulièrement les connaissances relationnelles, syntaxiques et distributionnelles. Ces connaissances
S’appuyer sur la morphologie dérivationnelle pour lire et écrire a plusieurs effets positifs. Le présent billet explique ce qu’est la morphologie dérivationnelle, et présente son utilité et