Carole Fisher est professeure associée à l’Université du Québec à Chicoutimi. Ses travaux portent sur l’enseignement de la grammaire et de l’orthographe, le langage au préscolaire et la communication orale. Elle collabore depuis plus de vingt ans avec Marie Nadeau. Ensemble, elles ont publié La grammaire nouvelle. La comprendre et l’enseigner (2006) et expérimenté la phrase dictée du jour et la dictée 0 faute dans des classes du primaire et du secondaire (Nadeau et Fisher, 2014). Elle a aussi collaboré au projet Expérimentation de dispositifs didactiques en syntaxe et ponctuation « à la manière » des dictées métacognitives interactives, au 3e cycle du primaire et au 1er cycle du secondaire (Nadeau, 2020).
Comment les homophones doivent-ils être traités dans les dictées métacognitives interactives (DMI)? À quoi ressemblent les progrès des élèves dans l'écriture des homophones grâce à cette pratique?
Quelques recherches québécoises récentes fournissent un aperçu des performances des élèves en matière d'homophones. Ce billet présente les principaux constats qui ressortent.
Ce billet est le premier d'une série de 3 billets portant sur les homophones grammaticaux. Il décrit l'approche habituelle pour les enseigner, de même que ses inconvénients.