Catherine est détentrice d’un baccalauréat en communication publique (2011) et d’une maitrise en orthophonie (2014), tous deux obtenus à l’Université Laval. Durant ses études en orthophonie, elle a développé un grand intérêt pour le développement langagier des jeunes enfants vivant en contexte de grande vulnérabilité. En septembre 2014, elle a amorcé un doctorat en médecine expérimentale à l’Université Laval sur ce sujet. Elle s’intéresse plus précisément au rôle qu’exerce l’expérience en services de garde éducatifs sur le développement langagier d’enfants pris en charge par les Centres jeunesse pour négligence parentale. Elle est présentement auxiliaire de recherche au Centre interdisciplinaire de recherche en réadaptation et intégration sociale (CIRRIS), ainsi qu’auxiliaire d’enseignement pour le programme de maitrise en orthophonie de l’Université Laval.
À quelques mois de vie, les enfants arrivent à exprimer de nombreux actes de communication par le biais des gestes, comme tendre la main, sourire, taper dans ses mains... Parmi cet éventail
18 190 personnes. C’est assez de personnes pour remplir le Centre Vidéotron... Mais, surtout, 18 190 personnes, c’est le nombre d’enfants âgés de 0 à 12 ans qui ont été